Et oui comme chaque année la rentrée littéraire est là !!!!
Voici les livres qui m'intéressent pour cette rentrée.
4ème de couverture :
Voici les livres qui m'intéressent pour cette rentrée.
4ème de couverture :
Il se faisait appeler Turambo, du nom du village misérable où il était né, dans l'Algérie des années 1920. Il avait pour lui sa candeur désarmante et un direct du gauche foudroyant. Il fréquenta le monde des Occidentaux, connut la gloire, l'argent et la fièvre des rings, pourtant aucun trophée ne faisait frémir son âme mieux que le regard d'une femme. De Nora à Louise, d'Aïda à Irène, il cherchait un sens à sa vie.
Mais dans un monde où la cupidité et le prestige règnent en maitres absolus, l'amour se met parfois en grand danger.4ème de couverture :
La narratrice a une dizaine d années lorsqu elle parvient à quitter l Argentine pour rejoindre sa mère, opposante à la dictature réfugiée en France. Son père est en prison à La Plata. Elle s attend à découvrir Paris, la tour Eiffel et les quais de Seine qui égayaient ses cours de français. Mais Le Blanc-Mesnil, où elle atterrit, ressemble assez peu à l image qu elle s était faite de son pays d accueil.
Comme dans son premier livre, Manèges, Laura Alcoba décrit une réalité très dure avec le regard et la voix d une enfant éblouie. La vie d écolière, la découverte de la neige, la correspondance avec le père emprisonné, l existence quotidienne dans la banlieue, l apprentissage émerveillé de la langue française forment une chronique acidulée, joyeuse, profondément touchante.
4ème de couverture :
Mon fils est le seul problème qui demeure sans solution. » Albert Einstein.
Le fils d Einstein a fini parmi les fous, délaissé de tous, jardinier de l hôpital psychiatrique de Zurich. Sa mère, qui l a élevé seule après son divorce, le conduit à la clinique Burghölzli à l âge de vingt ans. La voix du fils oublié résonne dans ce roman où s entremêlent le drame d une mère, les faiblesses d un génie, le journal d un dément. Une question hante ce texte : Eduard a-t-il été abandonné par son père à son terrible sort ? Laurent Seksik dévoile ce drame de l intime, sur fond de tragédie du siècle et d épopée d un géant.
4ème de couverture :
Avant que la lucidité ne le quitte à jamais, un homme écrit à la femme de sa vie, dans le chaos absolu d une mémoire vacillante, de longs feuillets recto/verso. D un côté : l itinéraire d un enfant sans amour et l affliction d un adulte sans dieu, de l autre : l histoire du Mal souverain. Confiteor (en latin : je confesse) est une véritable cathédrale profane.
4ème de couverture :
Soit une famille, parents aimants, fratrie de trois, une fille, deux garçons, grands adolescents, presque adultes, prêts pour le beau départ dans la vie. Le bonheur simple, sans histoire.
Survient le drame : un des fils, promis à une carrière de pilote de chasse dans l'armée, se tue dans un accident de voiture en rejoignant la maison familiale. Après la sidération des premières heures, la douleur submerge tout. Raconté par le menu, jour après jour, année après année, le deuil, ou plutôt la façon de s'en accommoder, nous est restitué avec pudeur et émotion par la soeur, la narratrice.
Chacun réagit comme il peut : la mère, dévastée, le père, muet, le frère et la soeur taraudés par cette question, pourquoi lui et pas nous ? Face à la révolte et à l'impuissance de ceux qui restent, la narratrice oppose un récit tremblant, mais qui, peu à peu, s'apaise et va vers la consolation. Le temps, implacable, fait son travail et rend la douleur moins vive, sans l'effacer, bien sûr, peut-on jamais se remettre de la mort d'un enfant, d'un frère ? Le temps passe et oeuvre à cette vie qui, vaille que vaille, continue, avec la naissance des petits-enfants, pour lesquels le disparu devient un nom, une photo, quelques mots.
Survient le drame : un des fils, promis à une carrière de pilote de chasse dans l'armée, se tue dans un accident de voiture en rejoignant la maison familiale. Après la sidération des premières heures, la douleur submerge tout. Raconté par le menu, jour après jour, année après année, le deuil, ou plutôt la façon de s'en accommoder, nous est restitué avec pudeur et émotion par la soeur, la narratrice.
Chacun réagit comme il peut : la mère, dévastée, le père, muet, le frère et la soeur taraudés par cette question, pourquoi lui et pas nous ? Face à la révolte et à l'impuissance de ceux qui restent, la narratrice oppose un récit tremblant, mais qui, peu à peu, s'apaise et va vers la consolation. Le temps, implacable, fait son travail et rend la douleur moins vive, sans l'effacer, bien sûr, peut-on jamais se remettre de la mort d'un enfant, d'un frère ? Le temps passe et oeuvre à cette vie qui, vaille que vaille, continue, avec la naissance des petits-enfants, pour lesquels le disparu devient un nom, une photo, quelques mots.
4ème de couverture :
En 1721, Philippe d’Orléans est Régent, dans l’attente que Louis XV atteigne la maturité légale. L’exercice du pouvoir est agréable, il y prend goût. Surgit alors dans sa tête une idée de génie : proposer à Philippe V d’Espagne un mariage entre Louis XV, âgé de onze ans, et la très jeune Infante, Maria Anna Victoria, âgée de quatre ans, qui ne pourra donc enfanter qu’une décennie plus tard. Ce laps de temps permet l’espoir d’un "malheur" qui l’assiérait définitivement sur le trône de France… Et il ne s’arrête pas là : il propose aussi de donner sa fille, Mademoiselle de Montpensier, comme épouse au jeune prince des Asturies, futur héritier du trône d’Espagne, pour conforter ses positions. La réaction à Madrid est enthousiaste, et les choses se mettent vite en place. L’échange des princesses a lieu début 1722, en grande pompe, sur une petite île au milieu de la Bidassoa, la rivière qui fait office de frontière entre les deux royaumes. Tout pourrait aller pour le mieux. Mais rien ne marchera comme prévu. Louis XV dédaigne l’Infante perdue dans l’immensité subtile et tourbillonnante du Louvre et de Versailles ; en Espagne, Mademoiselle de Montpensier ne joue pas le jeu et se refuse à son mari, au grand dam de ses beaux-parents Philippe V et Elisabeth de Farnèse. À la fin, un nouvel échange a lieu, beaucoup plus discret cette fois : chacune des princesses retourne dans son pays…
4ème de couverture :
En 1944, le camp de concentration de Ravensbrück compte plus de quarante mille femmes. Sur ce lieu de destruction se trouve comme une anomalie, une impossibilité : la Kinderzimmer, une pièce dévolue aux nourrissons, un point de lumière dans les ténèbres. Dans cet effroyable présent une jeune femme survit, elle donne la vie, la perpétue malgré tout. Un roman virtuose écrit dans un présent permanent, quand l'Histoire n'a pas encore eu lieu, et qui rend compte du poids de l'ignorance dans nos trajectoires individuelles.
4ème de couverture :
Aux premiers jours de décembre, Carole regagne sa vallée natale, dans le massif de la Vanoise, où son père, Curtil, lui a donné rendez-vous. Elle retrouve son frère et sa soeur, restés depuis toujours dans le village de leur enfance. Garde forestier, Philippe rêve de baliser un sentier de randonnée suivant le chemin emprunté par Hannibal à travers les Alpes. Gaby, la plus jeune, vit dans un bungalow où elle attend son homme, en taule pour quelques mois, et élève une fille qui n'est pas la sienne. Dans le Val-des-Seuls, il y a aussi le vieux Sam, pour-voyeur de souvenirs, le beau Jean, la Baronne et ses chiens, le bar à Francky avec sa jolie serveuse... Dans le gîte qu'elle loue, à côté de la scierie, Carole se consacre à une traduction sur la vie de Christo, l'artiste qui voile les choses pour mieux les révéler. Les jours passent, qui pourraient lui permettre de renouer avec Philippe et Gaby un lien qui n'a rien d'évident : Gaby et Philippe se comprennent, se ressemblent ; Carole est celle qui est partie, celle qui se pose trop de questions. Entre eux, comme une ombre, cet incendie qui a naguère détruit leur maison d'enfance et définitivement abîmé les poumons de Gaby. Décembre s'écoule, le froid s'installe, la neige arrive... Curtil sera-t-il là pour Noël ? Avec une attention aussi intense que bienveillante, Claudie Gallay déchiffre les non-dits du lien familial et éclaire la part d'absolu que chacun porte en soi. Pénétrant comme une brume, doux comme un soleil d'hiver et imprévisible comme un lac gelé, Une part de ciel est un roman d'atmosphère à la tendresse fraternelle qui bâtit tranquillement, sur des mémoires apaisées, de possibles futurs.
Et vous quels sont les livres qui vous intéressent dans cette rentrée littéraire ?
Commentaires